Apéro d'arrivée sur la terrasse de l'auberge

Apéro d’arrivée sur la terrasse de l’auberge

A 14h30, notre avion atterrit et nous avons notre premier contact avec ce nouveau pays ! Autant le personnel aéroportuaire Serbe ne nous aura pas impressionné par son accueil et sa gentillesse, autant ici nous sommes déjà servis, dès le passage de la douane. Une fois sortis de l’aéroport, nous faisons face aux traditionnels “taxi ? taxi ?” voire même un “there is no bus, there was an accident, I can take you to the center for 10€ each”… Nous décidons de prendre notre temps et une heure plus tard, après avoir visité un peu l’aéroport, nous voilà bien partis en bus pour le centre ville.
Nous trouvons notre auberge, pas forcément très visible (nous avons eu un peu peur de revivre notre arrivée à Oulan Bator deux ans plus tôt où nous n’avions jamais trouvé notre auberge).
Un peu déphasés, nous optons pour une soirée des plus calmes (nous étions assez fatigués de nos semaines respectives) : une petite bière sur le toit terrasse aménagé de l’auberge (trop posés !), et une salade grecque dans un restaurant voisin.

Tirana

Hostel Albania, 2750 lek (22€) la nuit pour une chambre privée avec salle de bain, incluant le petit déjeuner. Personnel très sympa et de bon conseil, un super toit terrasse aménagé, des chambres propres et assez spacieuses. Le petit déjeuner n’est pas extraordinaire.

Une navette, Luna Express, fait le trajet Aéroport Rinas – Centre ville. Elle part toutes les heures à heures rondes (depuis l’aéroport et depuis le centre ville), elle dure environ 45 minutes et coûte 250 lek par personne. Arriver un peu en avance car elle peut vite se remplir.
Les distributeurs de la banque BKT ne prennent pas de commission sur les retraits. Vous en avez un dans l’aéroport en allant à droite après être sortis de la zone de récupération des bagages. Au contraire, les deux distributeurs présents dans la zone de récupération des bagages prennent chacun une commission sur les retraits : 700 lek (5,6€) pour 25000 lek (200€) retirés pour la banque Raiffeisen et 575 lek (4,6€) pour 25000 lek retirés pour la Société Générale.

Chambre privée pour deux avec petit déjeuner dans Tirana : 2750 lek (22€)
Dîner pour deux (plat végétarien avec une bouteille d’eau) : 1000 lek (8€)
Navette Aéroport – Centre ville de Tirana : 250 lek (2€)

Voilà, cela fait 323 jours, un peu moins de 11 mois que nous sommes partis de France et dans deux jours, nous y serons revenus. Deux jours, vous dites ? Eh oui… Ce ne sont pas moins de 4 vols et deux nouveaux pays qui nous séparent de la France (Carthagène, Miami, Hartford, Édimbourg, et enfin Paris). Nous n’allions tout de même pas finir notre tour du monde sans une traversée de l’Atlantique avec un bon vieux vol charter, sans passer 48 heures à faire un trajet qui pourrait en prendre 10 et sans tester une dernière fois la moquette d’un bon vieil aéroport ;)…
Sur ce… comme on dit la-bas : ¡Hasta pronto!

The End.

The End.

Carthagène

« Camping sauvage » dans l’aéroport d’Hartford aux USA (très confortable)

Pour rejoindre l’aéroport de Carthagène, il est possible de prendre un bus Trans « quelque chose », qui se prend sur le quai en face du Baluarte de San Pedro Martir. Le trajet coûte 2 100 COP (environ 0,60 €) et dure (une fois que vous avez réussi à arrêter le bus) à peine 10 minutes.
Nous avons voyagé pour 520 € entre Carthagène et Paris, en prenant 4 vols différents (un peu moins de 48 heures). Un Carthagène – Miami (Spirit), puis un Miami _ Hartford (Spirit), un Hartford – Édimbourg (Norvegian), puis un Édimbourg – Paris (Transavia). Les vols étaient loin d’être une partie de plaisir (notamment pour dormir) mais c’était l’option la plus économique. Attention cependant il faut rajouter au prix du vol, les 14 $ d’ESTA (Electronic System for Travel Authorization) pour entrer aux Etats-Unis, seulement si vous y êtes éligibles. Si par exemple, pour avez séjourné dans certains pays (comme l’Iran), vous devrez faire un vrai visa (valable dix ans) qui sera beaucoup plus compliqué à faire et coûtera également plus cher.

Bus Centre de Carthagène – Aéroport de Carthagène : 2 100 Cop (environ 0,60 €)

Sanctuaire de Las Lajas

Sanctuaire de Las Lajas

Sanctuaire de Las Lajas

Sanctuaire de Las Lajas

Après une nuit courte mais salutaire à Tulcan, nous nous dirigeons vers la frontière colombienne pour entrer dans ce qui sera notre dernier pays de ce long voyage. Un bus pour le centre ville, puis un minivan pour la frontière et nous y sommes. Nous mettrons environ une heure à passer les deux douanes, c’est que nous ne sommes pas les seuls à traverser !

Puis, jamais deux sans trois, nous prenons un troisième minivan pour Ipiales. Il est environ midi, nous découvrons la Colombie.

Nous nous renseignons sur les bus pour Armenia, nous rapprochant de Salento, notre prochaine étape. Il y en a plusieurs par jour, et notamment deux en soirée. Nous laissons nos sacs à la consigne du terminal de bus et allons visiter le sanctuaire de Las Lajas, situé à quelques kilomètres d’Ipiales.

Pour être honnête, nous avions lu tellement d’éloges sur cette église que nous avons été un peu déçus en la découvrant : « mais c’est tout petit ! », « le paysage n’est pas très sauvage en fait ! ». En vrai, ce n’est pas vraiment petit et l’église est tout de même très jolie, bâtie entre les deux bords d’un canyon. Pour le prix et le temps que ça prend, ça vaut quand même le coup !

Sanctuaire de Las Lajas

Sanctuaire de Las Lajas

Puis nous retournons à Ipiales, achetons nos billets de bus pour Armenia (ou plutôt Calarca, juste à côté) et à 17h, c’est reparti pour 14h de bus (le premier avec des écrans personnels, un WiFi qui marche à peu près de temps en temps et une sélection de films pas dégueu ! Bon après, mon écran ne marchait pas…).

Vulcan, Ipiales

Bus de nuit Ipiales – Calarca (Armenia), Semi Cama avec toilettes, WiFi, écrans personels : 80000 COP (environ 22,90 €)

La compagnie Fronteras a plusieurs bus par jour partant de Ipiales vers Armenia (Calarca) (notamment : 17h15 et 19h30). Le bus met 14h et coûte 80 000 COP (environ 22,90 €). Attention, le bus vous laisse au bord de la route à la sortie de Calarca, il faut ensuite reprendre un colectivo pour Armenia pour continuer le trajet.
Le sanctuaire de Las Lajas est facilement accessible en taxi ou taxi collectif depuis le terminal de bus d’Ipiales. Ça prend au maximum trois heures d’y aller, de visiter les lieux et de revenir. La visite de l’église est gratuite.
Le passage de frontière entre Équateur et Colombie à Ipiales / Tulcan se fait très bien. La frontière est ouverte 24h/24. Coté équatorien, des colectivo partent de le place Parque Ayora de Tulcan pour la frontière (prix : 0,75 $). Des colectivos partent ensuite de la frontière pour le terminal de bus d’Ipiales côté colombien (prix : 0,80 $ ou 1900 COP).

Bus Tulcan : 0,30 $
Colectivo Tulcan – frontière : 0,75 $
Colectivo frontière – Ipiales : 1 900 COP ou 0,60 $
Déjeuner Menu Salento : 7 000 COP (environ 2 €)
Colectivo Ipiales – Las Lajas : 2 500 COP (environ 0,80 €)
Bus Ipiales – Armenia (Calarca) : 80 000 COP (environ 22,90 €)

Traversée du Napo pour aller à Ahuano

Traversée du Napo pour aller à Ahuano

Une belle journée puisque que c’est une journée de bus !
Nous dirons “au revoir” à Gaia et ses habitants puis Agustin nous accompagnera jusqu’à La Punta (point où il est nécessaire de traverser la rivière). Agustin, un garçon vraiment sympa prêt à aider à tout moment mais… complètement dépassé par tout ce qui demande un minimum d’organisation (pire qu’Alexis, c’est pour dire !).
Nous prendrons son mail pour lui envoyer quelques suggestions pour le bon développement de son lodge qui est vraiment un endroit génial.

S’en suivra un bus pour aller à Tena (une heure), puis un pour aller à Quito (cinq heures), puis des transports dans Quito et enfin un bus pour rejoindre Tulcán (cinq heures). Des occasions de vérifier une nouvelles fois à quel point les Équatoriens sont des gens sympa et aidant (un nombre incalculable de leçons à en tirer).

Nous arrivons vers minuit à Tulcán, ville frontalière avec la Colombie. La frontière est ouverte en 24/7 mais nous déciderons de passer la nuit à l’auberge avant de reprendre la traversée…

Ahuano, Tena, Quito, Tulcán

Hostel Las Acacias, propre, Wi-Fi qui fonctionne mais pas vraiment d’eau chaude

La frontière entre Tulcán et Ipiales est ouverte 24/7

Une chambre double à Tulcán : 14$
PRIX DES BUS

Cuenca sous la pluie

Cuenca sous la pluie

Vers quatre heures du matin, les lumières s’allument, il est temps de découvrir un nouveau pays. Nous arrivons donc au poste frontière ouvert 24 heures sur 24 afin de passer en Équateur. Une fois de plus en Amérique du Sud, les formalités sont simples : une file pour faire le tampon de sortie du Pérou puis une seconde pour celui d’entrée en Équateur. Autant vous dire qu’à cette heure-là, ça ne se bouscule pas pour faire la queue. Il n’y a que les passagers de notre bus dans ce poste de contrôle.

Nous remonterons tranquillement dans notre bus avant d’arriver quelque deux heures plus tard à Machala. Nouveau pays dit nouvelle devise, enfin pas tant que ça puisqu’ici ce sont les dollars américains qui sont utilisés. Nous partons à la recherche d’un distributeur puis d’un bus pour aller à Cuenca où nous nous reposerons quelques jours. Nous profitons de la demi-heure avant le départ du bus pour petit déjeuner. Nous nous dégotons deux sièges chez un petit vendeur de batidos (jus de fruit à base de lait) et nous enfilerons deux toasts au fromage avec un jus à la mangue puis direction le bus !

Après de nouveaux chefs-d’œuvre cinématographiques, nous arrivons à Cuenca où pour le moment nous n’avons pas d’endroit où passer la nuit. Après des heures et des heures de bus, en route pour trouver un restaurant avec un Wi-Fi pour manger autre chose que du pain et réserver un lit. Nous tombons par hasard sur ce qui s’avère être l’un des meilleurs restaurants de la ville et où le menu du midi est abordable. Après notre entrée-plat-dessert accompagné de son jus et après avoir attendu la fin de l’averse, nous nous remettons en route pour découvrir notre dortoir fraîchement réservé.

Une fois nos sacs posés, nous partons explorer la cité de Cuenca… une découverte qui sera vite écourtée par la pluie. Pour l’éviter, nous irons nous réfugier dans un café sur la place centrale. On se croirait revenu en France, des crêpes au menu jusqu’à la fresque d’Amélie Poulain dans les toilettes…

Les heures passent et le ciel n’en finit pas de pleurer, si bien qu’il est l’heure de dîner ! On décide donc d’aller dans le restaurant le plus éloigné possible :- ))
Une pizzeria d’inspiration new-yorkaise à l’extérieur du centre-ville. Nous en profiterons pour passer une tête dans un restaurant vietnamo-thaïlando-italo-hollandais et noter l’adresse pour le dîner du lendemain. Une fois à la cantine de la grosse pomme, nous sommes les seuls non-américains présents dans la salle mais il faut reconnaître que la qualité est au rendez-vous. Nous dévorons notre pizza et attendons une accalmie du ciel pour aller rejoindre un matelas qui ne devrait pas prendre de virage ou freiner brusquement durant toute une nuit…

Machala, Cuenca

Cuenca, auberge La Cigale, 7 USD (+1 USD de taxe) / lit / nuit, lit très confortable mais sinon Wi-Fi pas top, eau chaude aux abonnées absentes et dortoir pas pratique pour ceux qui ont les lits du haut

La frontière péruvo-équatorienne d’Alamor est ouverte en 24/7

Déjeuner au Simón 7-84, 3,55 USD par personne pour entrée-plat-dessert et boisson
Dîner au Tutto Matto Pizzeria, 18,36 USD la pizza grande taille (suffisante pour deux personnes)
Mijotos en happy hour au café Sucré Salé, 5 USD les deux

Salade de fruit, jolie, jolie, jolie…

Un air de Provence…

Nous sommes réveillés beaucoup trop tôt, comme dans la plupart des trajets péruviens (pourquoi ne font-ils pas partir les bus deux heures plus tard plutôt que de les faire arriver à 4h30 du matin ?!). Nous somnolons pendant 1h30 avant de parcourir la ville à la recherche d’un bus voulant bien nous approcher de l’Equateur. Après en avoir trouvé un (Linea) pour Piura, d’où nous pourrons partir pour l’Equateur, partant à 13h30, nous nous dirigeons vers l’endroit où, sur la carte, toutes les compagnies ont l’air de se trouver pour comparer les prix et les horaires. Arrivés là-bas, nous découvrons que toutes les compagnies vont à Lima (ou Tumbes) mais aucune ne va à Piura sauf une (heureusement car nous n’étions pas très chauds pour remarcher une demi-heure pour retourner à Linea). Nous achetons deux billets pour aller à Piura, départ à 13h30. Même horaire, même tarif que nous avions déjà. Mais au moins, nous sommes dans le centre-ville.

Nous allons faire un petit tour par la Plaza De Armas et nous trouvons un petit restaurant avec WiFi où déguster une énorme salade de fruit pour tuer les trois ou quatre heures qui nous séparent de notre bus. N’ayant pas confiance dans la qualité des burgers péruviens (après avoir testé ceux de Huaraz…) nous nous retournons donc sur une valeur sûre, le McDonald’s… Deuxième de notre année de voyage (après le Mc Patate de mon anniversaire ^^) ! Le Big Mac a bien le même goût que chez nous.
Après cette étape gastronomique, direction la gare de bus, où nous attendent quelques heures de bus avant d’arriver à Machala. Nous aurons à nouveau droit à deux ou trois films en espagnol dont les sous-titres ont malheureusement sauté depuis que nous sommes passés au Pérou, mais comme nous sommes des stars en espagnol maintenant, tout va bien ;). Parmi eux, The 33, film sur les 33 Chiliens ayant été pris au piège pendant plusieurs semaines dans une mine dans le désert d’Atacama (le souvenir de l’actualité que cette histoire s’était bien finie a rendu ce moment vachement moins stressant que lorsque nous avions ​regardé Everest la semaine dernière dans la tente en pleine montagne…).

Le Big Mac que nous n'avons pas trouvé en Inde

Le Big Mac que nous n’avons pas trouvé en Inde

Puis vers 20h30, nous arrivons à Piura. Nous nous sommes préparés à passer la nuit sur place, pensant que le seul bus partant pour Cuenca part à 21h, et le temps qu’on traverse la ville pour aller au bon terminal, il sera trop tard. Nous traversons la ville de Piura, franchement pas si pure vu le nombre de cafards volants sautant partout dans la ville (ce jeu de mot risque d’être censuré à la relecture ^^… ou pas !), en direction du terminal qui nous intéresse.

Le bus direct pour Cuenca est bien sûr parti, à 20h30, mais nous en trouvons un partant à 22h (45 minutes plus tard) pour Machala, d’où nous pourrons aller à Cuenca. Le bus dure 8h, nous arriverons à 6h du matin à Machala. Il ne nous restera plus que 170 km avant Cuenca. Juste le temps d’acheter un bout de pain et du fromage pour dîner et hop ! Nous quittons les cafards sautant de Piura !

Trujillo, Piura

Bus de nuit Piura – Machala, Vida, 45 soles (environ 12,90 €) en semi-cama, plutôt confortable.

Voici l’itinéraire que nous avons suivi pour aller de Huaraz (Pérou) à Cuenca (Équateur) en un minimum de temps (et ça n’a finalement pas trop mal marché) :
> Huaraz – Trujillo, 14 SRL, départ 22h, arrivée 5h, 45 soles (environ 12,90 €)
> Trujillo – Piura, Entrafesa, départ 13h30, arrivée 20h30, 32 soles (environ 9,20 €)
> Piura – Machala, Cifa, départ 22h, arrivée 6h, 45 soles (environ 12,90 €)
> Machala – Cuenca, Rutas Orenses, départ 7h, arrivée 11h30, 6$
Nous aurions également pu prendre un bus depuis Trujillo directement jusqu’à Tumbes, nous pensions aller plus vite en ne passant pas par Tumbes car la route est plus longue mais au final le bus vers Machala est passé par Tumbes… Il y avait plus de compagnies à Trujillo proposant des bus vers Tumbes, nous aurions peut-être gagné un peu de temps.
A Piura, Super Semeria propose un bus direct par jour jusqu’à Cuenca, partant à 20h30 le soir, pour 60 soles.
A Machala, de nombreux bus partent pour Cuenca (trouver les bonnes compagnies).
La frontière entre le Pérou et l’Equateur (proche de Tumbes) est ouverte 24h/24h. Notre bus y est passé à 4h30 du matin, nous étions quasi seuls et n’avons pas attendu trop longtemps (le temps de faire passer tout le bus).

Bus direct Entrafesa en semi cama (en haut) entre Trujillo et Piura : 32 soles (environ 9,20 €)
Bus Cifa en semi cama entre Piura et Machala : 45 soles (environ 13,90 €)
Bus Rutas Orenses en semi cama entre Machala et Cuenca : 6$

Isla del Sol en fin de journée

Isla del Sol en fin de journée

[By Nico]

Ce 28 avril est le jour de changement de pays pour la Bolivie. Nous allons à Copacabana, ville bolivienne à ne pas confondre avec la célèbre plage de Rio de Janeiro.

Le bus est le meilleur moyen de parcourir les 450 km qui séparent Cusco de Copacabana. Quatre compagnies de bus proposent le service depuis le terminal 3 (gare routière) de Cusco. Les premières offres étaient proposées à 65 soles. Les critères de choix sont les suivants :

  • 9 places disponibles pour le soir-même dans un même bus.
  • Bus direct, sans changement de bus. Même si ce n’est pas un critère obligatoire, c’est un confort non négligeable pour les 9 heures de route qui séparent les deux villes.
  • Tarif inférieur à 65 soles (sur internet, on peut trouver des tarifs à 25 dollars).
  • Le Wi-Fi à bord non nécessaire pour nous, durant ce voyage de nuit.
  • Des sièges en cama (inclinable à 160°) ou semi-cama (inclinable à 120°).

Nous choisirons finalement la compagnie Trans-salvador qui propose 9 places pour 50 soles par personne, dans un bus direct, avec des sièges cama.

Le départ pour la Bolivie est fixé à 22h.
Après un dernier dîner péruvien (pizza, que nous attendrons près d’une heure), nous partons pour l’enregistrement qui a lieu à 21h30. Le prix imprimé sur nos billets était de 45 soles. Nous aurions pu plus négocier ce bus. A notre surprise, nous devons encore payer une « tame » de 1,4 sol par personne pour… l’accès au quai.

Le bus répond à nos attentes : les sièges sont larges, confortables, s’inclinent à 160°. Le bus est équipé de toilettes.

Le bus part exactement à 22h. A part quelques dérangements sonores (Le chauffeur qui annonce l’arrêt « Puno, Puno, Puno » et une péruvienne qui appelle sa mère à 6h du matin comme si elle était seule dans le bus), nous avons passé une bonne nuit. Nous apercevons le lac Titicaca au bord de la route. Le paysage péruvien proche de la frontière est sensiblement identique au reste du pays. Les cultures y sont assez nombreuses dans cette région. Les paysans sont en période de moisson : des gerbes fraîchement coupées sèchent dans les champs. Comme dans le reste du pays, les habitations du bord de route affichent des revendications politiques, peintes sur leurs façades.

A 30 km de la frontière, notre bus direct est finalement moins direct que prévu. On nous débarque sur le bord de la route où nous devons attendre un colectivo pendant 30 minutes (puis encore 20 minutes) jusqu’à la frontière. L’agent de la compagnie de bus nous donne une dizaine de soles pour prendre un autre colectivo depuis la frontière jusqu’à Copacabana.

Arrêtés au bord de la route

Arrêtés au bord de la route…

Nous arrivons finalement à la frontière Pérou-Bolivie vers 8h30 où nous attendons environ 1h30 pour sortir du pays avec le précieux tampon. L’entrée en Bolivie a été rapide. Comme prévu, nous prenons un colectivo de la frontière à Copacabana pour une quinzaine de soles péruviens. Le paysage reste dans la lignée de celui du Pérou avec le lac Titicaca, les montagnes et quelques habitations. Sur le trajet, nous prenons en charge quelques boliviens qui profiteront de notre minibus.

Passage de frontière Pérou vers Bolivie

Passage de frontière Pérou vers Bolivie

Nous arrivons vers 11h à Copacabana. Nous réservons les bus pour notre prochaine étape et nous embarquons dans un petit bateau (peu rapide – 2h de traversée) vers l’Isla Del Sol (coût : 20 BOB par personne). L’île est jolie bien qu’assez conçue pour les touristes. L’île compte un nombre important de petites auberges simples (entre 20 et 50 BOB par nuit) et de restaurants (environ 35-40 BOB pour un menu soupe, plat, dessert, boisson).

 

Après un pique-nique près du port, nous partons à la recherche d’une auberge pour la nuit. L’auberge Las Islas nous propose 3 chambres pour 7 personnes pour 30 BOB. Le petit-déjeuner de 20 BOB n’est pas inclus.

Isla del Sol

Isla del Sol

Isla Del Sol

Isla Del Sol

Les activités sur l’île sont assez restreintes. Nous montons sur une montagne pour avoir une vue dégagée pour observer le coucher de soleil. Le ciel nuageux ne nous permettra pas de voir le soleil. Nous dînons dans un petit restaurant qui nous propose, comme la plupart des restaurants de l’île, une soupe, un plat au choix (poulet, omelette, spaghetti, viande) et un dessert pour 35 BOB.

Nous regagnons l’auberge avec pour objectif un lever vers 5h30 pour observer le lever du soleil.

Nico, pour Onepicaday/em>

Auberge Las Islas, Isla Del Sol, 3 chambres pour 7 personnes pour 30 BOB chacun (environ 4,10€), chambres propres, jolie terrasse avec jolie vue sur le lac Titicaca (petit-déjeuner de 20 BOB non inclus).

Quelques bateaux par jours partent de Copacabana pour l’Isla Del Sol. Un tôt le matin et un vers 13h en particulier. Le trajet dans ce sens coûte 20 BOB (environ 2,75€).
De nombreuses auberges et restaurants sont présentes sur l’île, même si très peu proposent des réservations par Internet (ne pas croire le mec qui vous dit qu’elles sont toutes complètes en arrivant). Ne pas hésiter à négocier les prix.
De nombreux restaurants sont présents sur l’île. Dans l’ensemble, ils sont environ deux fois plus chers que sur le continent. Attendez-vous à attendre un moment avant d’être servis.

Bateau Copacabana – Isla Del Sol : 20 BOB (environ 2,75 €)
Lit en chambre triple ou prix par personne en chambre double sur Isla Del Sol : 30 BOB (environ 4,10€)
Menu sur l’Isla Del Sol : 35 BOB (environ 4,80€)

Décollage !

Décollage !

C’est parti pour le Pérou. Nous partons de bonne heure, nous rendons au terminal de bus de Valparaiso, prenons un bus pour Santiago (partant 5 minutes après notre arrivée), puis prenons un autre bus depuis le terminal auquel nous arrivons jusqu’à l’aéroport. Nous arrivons à l’aéroport quatre heures avant notre vol, on est larges (enfin, très/trop large diront certains) !
Puis c’est parti pour un nouveau pays. Après 3h30 de vol au lieu de 4 heures annoncées (premier avion que nous voyons arriver avec une demi-heure d’avance), nous arrivons à Lima. Vue d’avion, la ville est ocre, avec de nombreuses collines. Le paysage est assez désertique. Le temps de négocier un taxi et nous voilà parti pour rejoindre Simon et Ombeline, amis tourdumondistes cyclistes rencontrés en Workaway quelques mois plutôt en Chine, installés à Lima pour quelques temps dans l’attente d’un heureux événement. Nous découvrons la circulation chaotique de Lima aux heures de pointe (1h15 pour faire une vingtaine de kilomètres), aurons droit à une émission télé des plus intellectuelles dans le taxi (une femme demandant un remboursement à l’entreprise ayant organisé une fête d’anniversaire pour sa fille car les salariés jouant les princesses étaient des hommes), émission qui au final, nous aura bien aidé à passer le temps.
Pendant qu’Ombeline assiste à une session de préparation à l’accouchement, nous testerons les bières locales avec Simon. Une soirée bien sympa à discuter de nos aventures respectives de voyage un peu et… des élections, beaucoup ;).

Valparaiso, Santiago, Lima

Chez Simon et Ombeline, Lima (district de Surco)

Pas besoin de réserver à l’avance les billets de bus pour Santiago depuis Valparaiso, il en part au moins tous les quart d’heure, voire plus, et il sont rarement complètement pleins.
En arrivant au Pérou, il vaut mieux retirer de l’argent à un distributeur BCP, qui ne prend pas de commission pour les retrait et permet de retirer jusqu’à 700 soles, quand d’autres limitent les retraits à 400 soles et/ou prennent une commision (GlobalNet par exemple, prend 18 soles pour un retrait maximum de 400 soles…).
Pour négocier un taxi à la sortie de l’aéroport de Lima, il vaut mieux sortir de l’enceinte de l’aéroport (aller plus loin que le parking). De nombreux taxis passent, ne paient pas le parking, et seront plus sujets à offrir des prix « normaux ».

Bus Valparaiso Santiago (Turbus) : 3000 CLP (environ 4,30€)
Bus Santiago Terminal Pajarito – Aéroport (Turbus) : 1700 CLP (environ 3,50€)
Taxi (négocié) Aéroport de Lima – District de Surco en heure de pointe : 45 soles (environ 13,25€), 40 soles de taxi et 5 soles de commission pour le gars ayant négocié pour nous

Vue sur le Fitz Roy depuis le campement à la douane argentine entre Villa O'Higgins et El Chalten

Vue sur le Fitz Roy depuis le campement à la douane argentine entre Villa O’Higgins et El Chalten

Démarrage de la journée en douceur et tout en humidité. Une fois l’épongeage de la tente fait, nous partons vers l’embarcadère de Puerto Bahamondez (où le propriétaire de la compagnie de transport nous déposera lui-même !).
Ça y est, nous y sommes, c’est la fin de la Carretera Austral. En petit bilan, la route est magnifique même si elle n’est pas en très bon état tout du long (des travaux sont en cours sur différentes portions de la route et devraient aboutir d’ici fin 2018). Ça vaut réellement le coup de la prendre et de profiter de la vue sur des lacs et glaciers aux couleurs saisissantes.
Nous prenons alors le bateau vers Candelario Mansilla, le trajet dure une heure trente et nous rencontrerons trois cyclistes. Manque de chance pour eux, ils ont réservé leur billet directement depuis Villa O’Higgins et n’ont pas eu le choix de faire l’impasse sur la visite du glacier O’Higgins, contrairement à nous (nous avions un billet pour le trajet court, donc sans glacier, pour le vendredi au lieu du samedi habituel. La fille de l’office de tourisme à Cochrane s’était trompée de date. Les gérants de l’agence n’ont pas pu nous refuser le trajet court.). Les cyclistes ont donc payé le double et l’ont un peu amer lorsqu’ils apprennent le prix de nos billets… (ce glacier ne vaut pas forcément le coup d’être vu de ce que l’on en a entendu).
La petite croisière est très sympa, il fait beau et frais mais les couleurs de l’eau et des montagnes qui entourent le lac sont superbes.

Lago O'Higgins

Lago O’Higgins

Une fois débarqués, nous nous lançons vers l’Argentine accompagnés de François (un Brestois qui après une thèse en mathématiques a fait une pause de quelques mois pour voyager en Amérique du Sud). Très rapidement, nous atteignons le poste de contrôle chilien où globalement on ne nous demande pas grand-chose si ce n’est les passeports pour y mettre un coup de tampon. Nous déjeunerons, une fois les formalités administratives faites, face au terrain de foot des gardes-frontières.
A partir de ce point, nous sommes dans le « No man’s land ». Un coin de terre qui n’appartient ni au Chili, ni à l’Argentine mais qui doit offrir quelques paysages sympas à ses visiteurs. Nous nous aventurons sur les 22 kilomètres qui nous séparent du poste de contrôle argentin. Ça grimpe un peu et petit à petit le paysage se dégage pour nous offrir une vue sur la montagne emblématique de la Patagonie : le mont Fitz Roy. On croisera quelques personnes en sens inverse qui nous diront toutes qu’El Chalten est un coin fantastique, ce qui tombe plutôt bien puisque c’est notre destination. De temps en temps, le chemin se transforme aussi en « saute flaques de boue » et finalement après environ quatre heures de marche, nous arrivons au poste de contrôle. Il est 18 heures, nous faisons nos tampons d’entrée en Argentine et mangeons quelques biscuits avant de planter la tente… face au Lago del Desierto dont l’autre rive n’est autre que le mont Fitz Roy. L’endroit est magnifique, on profite un peu du coucher du soleil durant l’installation de la tente puis on file cuisiner, une fois de plus face au Fitz Roy. Une des particularités de cet endroit (en plus d’être magnifique) est qu’il offre un point de vue sur l’autre face du Fitz Roy. C’est totalement différent de ce que l’on peut voir depuis El Chalten. Un petit regret cependant, ce soir, pas d’étoiles au-dessus du Fitz Roy…

Première vue sur le Fitz Roy en arrivant du Chili

Première vue sur le Fitz Roy en arrivant du Chili

Villa O’Higgins, Candelario Mansilla, No man’s land, Lago del Desierto

En tente, site de camping gratuit sur les rives du Lago del Desierto (à côté du poste de contrôle de la frontière argentine)

Le camping à la descente du bateau (à Candelario Mansilla) côté chilien semble aussi offrir des lits (en cas de problème, il est possible de se renseigner au poste de contrôle chilien)

L'immense lac Nahuel Huapi à Bariloche

L’immense lac Nahuel Huapi à Bariloche (jamais vu autant de vagues sur un lac…)

Nous passons la nuit sous la pluie. Vers 8h, nous nous réveillons, encore sous la pluie. Vers 9h30, nous décidons de nous lancer. Nous plions nos affaires et partons. Nous levons le pouce et nous avons beaucoup plus de succès que la veille : une voiture s’arrête tout de suite, et en plus, elle va à Bariloche ! C’est parti pour l’Argentine, un nouveau pays ! Nous sortons du Chili, puis parcourons le No Man’s Land le plus long du monde (enfin, c’est l’impression qu’il donne) sur une jolie route de montagne. 45 minutes plus tard, nous entrons en Argentine. Nous continuons la route avec nos conducteurs un peu bizarres, paumés (quand on n’a pas de carte, on peut regarder les panneaux…), et dangereux (s’endormant un peu au volant).

Nous arrivons sains et sauf à Bariloche en début d’après-midi après avoir conduits nos preneurs de stop jusqu’à leur adresse. La route était vraiment jolie et nous arrivons dans une ville autour d’un magnifique lac d’eau bleu foncée, et agitée à cause d’un vent déchainé.

Nous déjeunons par terre nos sandwichs de pain et fromage pour s’abriter du vent et nous lançons dans la suite : trouver un distributeur (et se faire taxer de 5% au retrait…), faire des courses, trouver un bus pour aller à Cathedral d’où nous allons commencer une randonnée, se faire refouler du bus car nous n’avons pas la carte Sube de transport, faire tous les kiosques du coin pour trouver la carte car le bus veut bien nous attendre, s’entendre dire qu’ils sont tous en rupture de stock, laisser partir le bus, trouver enfin un kiosque où acheter la carte, aller la recharger dans un autre kiosque car si on pouvait recharger au même endroit ce serait trop simple, prendre le bus suivant une heure plus tard, s’apercevoir qu’en fait on n’avait pas assez chargé la carte (mais qu’on a quand même pu monter dans le bus), arriver à Cathedral à 19h, marcher 2 heures, planter la tente à la tombée de la nuit à côté d’une rivière dans un super spot (mais sans atteindre le refuge Petricek que nous visions).

Anticura, Bariloche

En tente, Parc National Nahuel Huapi, proche du refuge Petricek

En commençant à Cathedral, nous avons mis (avec les gros sacs et sans compter les pauses) environ 2h15 pour rejoindre le refuge Petricek (2h le J1 et 15 minutes le J2)
Pour utiliser les bus publics à Bariloche, il fait acheter une carte de transport (Sube) à 35 ARS. Elle est vendue dans de nombreux kiosques dans Bariloche mais attention aux ruptures de stock, aux heures de sieste, aux fermetures hebdomadaires… Il est facile de se retrouver coincé. La carte Sube est également utilisable à Buenos Aires. Il est possible d’y avoir un solde négatif (au moins -6 ARS).
Rue Moreno se trouvent de très nombreux bus, en particulier ceux allant à l’aéroport et à Cathedral (point de départ de la randonnée vers le Refugio Frey).

Carte de transport Sube (indispensable à Bariloche et Buenos Aires, la même) : 35 ARS (environ 2,20€)
Trajet Bariloche – Cerro Cathedral en bus : 28 ARS (environ 1,75€)

C'est parti pour 3 jours de stop !

C’est parti pour 3 jours de stop !

Matinée dédiée à refaire intégralement les sacs et à passer un dernier coup de balai dans la cabane. Il est quasi midi lorsque nous sommes (enfin) prêts à partir. Nous écrivons un petit mot pour Katia et Victor que nous croiserons finalement et à qui nous pourrons dire « au-revoir » en bonne et due forme. Les « adios » aux « serpillères » (les chiens que nous avons surnommés Black et Brown Mop) sont plein de carresses. Une fois sur la route, nous commençons à faire du stop. Ca marche assez bien puisque sur trois stops, nous n’attendrons pas plus de 20 minutes pour atteindre Entre Lagos (environ 50km). Nous avions deux objectifs, nous remplirons le premier en achetant du gaz pour le camping et un chargeur USB (le nôtre ayant brûlé le matin même… vive le « made in China » qui aura tenu deux semaines, nous tentons le « made in Vietnam »).

Pour l’après-midi, nous reprenons le stop avec beaucoup moins de succès (jamais moins d’une heure pour avoir une voiture et pour seulement quelques kilomètres, alors que le trafic est suffisamment dense). Après quelques kilomètres en stop puis quelques kilomètres en bus, nous tomberons finalement sur un garde forestier qui nous déposera proche de la frontière, sur un coin pelouse où nous pouvons poser la tente gratuitement. La frontière fermant à 19h, nous n’atteindrons pas le deuxième objectif de la journée, qui était de passer en Argentine.

Notre maison

Notre maison

Las Cascadas, Entre Lagos, Anticura

En tente, en camping gratuit à Anticura

La frontière avec l’Argentine au Paso Cardinal Samoré ferme le soir à 19h.

C'est parti pour un looong trajet

C’est parti pour un looong trajet

Dans la nuit du 8 au 9 février, c’est le grand départ de l’Asie. Nous prenons l’avion à 4h du matin pour deux longs jours de transport. Un premier vol pour Doha (3h40), un deuxième pour Sao Paulo (15h45), un troisième pour Santiago du Chili (3h10), puis nous finirons par un bus pour Valparaiso. Nous nous offrons un taxi jusqu’à l’aéroport (550 roupies pour une quinzaine de kilomètres, environ 8€), dépensons nos dernières roupies dans un énorme paquet de M&M’s (10 balles quand même ! C’est presque du gâchis !) et c’est parti pour ces trois vols dans lesquels nous apprécierons le confort de Qatar Airways (on n’aura jamais regardé autant de films que dans le vol de quinze heure dans lequel nous n’avons quasi pas dormi… c’était la journée en Inde), et sa vidéo de consigne de sécurité jouée par l’équipe de foot de Barcelone.

Ca c'est de la sensibilisation !

Ils ont de l’humour ces Qatari 😉

Ca c'est de la sensibilisation !

Ca c’est de la sensibilisation !

Nous atterrissons à Santiago de Cuba vers 2 heures du matin le 10 février, après 30 heures de trajet. Nous passerons l’immigration tellement facilement qu’on aurait presque l’impression d’être en Europe (un coup de tampon sur le passeport et c’est parti), la douane un peu moins facilement mais pas trop difficilement quand même (interdiction d’importer des produits issus de végétaux ou d’animaux, on a dû passer le comté de maman en douce mais on l’a sauvé ;)). Nous nous trouverons ensuite un petit coin un peu isolé derrière un ascenseur pour finir la nuit (il est environ 3 heures du matin après tout ça) avant de partir le lendemain matin pour Valparaiso.

Mumbai, Doha, Sao Paulo

Aéroport de Santiago du Chili

L’entrée au Chili se fait super facilement. On avait lu sur Internet (en particulier sur le site diplomatie.gouv) qu’il fallait un billet de sortie du Chili, mais on ne nous a absolument rien demandé. Mais rien du tout !
A l’entrée au Chili, on vous donne un ticket qui ne paie pas de mine mais qui est super important ! Ne surtout pas le perdre ! Il permet notamment de ne pas payer les 19% de taxes en plus dans tous les hôtels dans lesquels vous allez rester…

Taxi de Mumbai Sud jusqu’à l’aéroport International Chhatrapati Shivaji de nuit (23h30) : 550 roupies (environ 8€)
Timbre pour carte postale (photo imprimée légère) pour l’Europe : 15 roupies (environ 0,20€)